Mon ancètre, l'esclave
En mai 1848, une circulaire ministérielle adressée aux Commissaires Généraux de Martinique, Guadeloupe, Réunion et Guyane, stipule de procéder à un recensement et d'attribuer un nom à chacun. Cet ordre venu de Paris inaugure un moment historique crucial et l'attribution de patronymes acte la métamorphose des esclaves en citoyens. Voir moins