Pour la première fois, sept policiers ont accepté de se confier et de raconter à visage découvert la réalité de leur métier au risque de subir, pour certains, les foudres de leur administration. Ces paroles interdites décrivent la déshumanisation et la perte de sens de leur métier, le sentiment d’abandon, de déclassement et d’isolement.
La police travaille-t-elle différemment à Auckland, Oslo, Perth et San Francisco ? Pendant 24 heures, des agents à travers Auckland assistent à plus de 1 500 incidents : un toutes les minutes.
Une comparaison entre la nouvelle ville d’Auckland en Nouvelle Zélande, et Perth en Australie. Ces deux villes sont similaires en termes de taille et de criminalité. L’alcool, et les cambriolages sont les problèmes majeurs de ces deux villes. San Francisco aux États-Unis possède de son côté une criminalité plus extrême, dominée par le trafic de drogue et les gangs.
Dès 8h, un samedi matin, nous patrouillons avec la police dans les rues de Auckland, Perth, San Francisco et Oslo, en comparant les taux de criminalité et les méthodes de maintien de l'ordre. Qu'allons-nous apprendre de cette expérience internationale ?
Police, gendarmerie, armée, nos forces de l'ordre n'engagent pas que des hommes et des femmes. Les animaux font aussi partie de leurs effectifs. En effet, les aptitudes des chiens, chevaux ou même pigeons se révèlent parfois essentielles dans la résolution de certaines enquêtes.
