Août 1915. Deux officiers de l’Armée française se lancent dans une incroyable mission secrète : ramener 450 chiens de traîneaux depuis l’Alaska et le Canada. Objectif : sauver le front de l’Est face à l’invasion allemande. La vie de milliers de soldats est en jeu. Aidés par le légendaire conducteur d’attelage Scotty Allan le Capitaine Louis Moufflet et le Lieutenant René Haas ont 120 jours devant eux pour parcourir 10 000 kilomètres sous la menace ennemie.
Août 1915. Deux officiers de l’Armée française se lancent dans une incroyable mission secrète : ramener 450 chiens de traîneaux depuis l’Alaska et le Canada. Objectif : sauver le front de l’Est face à l’invasion allemande. La vie de milliers de soldats est en jeu. Aidés par le légendaire conducteur d’attelage Scotty Allan le Capitaine Louis Moufflet et le Lieutenant René Haas ont 120 jours devant eux pour parcourir 10 000 kilomètres sous la menace ennemie.
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
20 avril 1942, dans la cave d'un pavillon de Noisy-le-Grand, trois résistants, sous la direction de l'ingénieur Robert Keller ("La Source K" pour les Services Secrets Français), espionnent en direct la voix d'Adolf Hitler, le Führer lui-même, qu'ils ont placé sur table d'écoute ! Ils espionneront également les plus grands dignitaires du IIIe Reich.
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Un jeune sous-lieutenant raconte sa guerre, celle de 1914, qu'il a menée en compagnie de ses hommes, ouvriers ou paysans, âgés d'une vingtaine d'années à peine...
Les archives soviétiques abritent l'unique mémoire filmique de l'Holocauste. Prises sur le vif, ces images sont douées de réalité. Mais quelle réalité ? Au lendemain de l'invasion allemande, les Soviétiques décident d'utiliser leur savoir-faire et d'imprimer sur pellicule, la redoutable machinerie d'extermination de l'ennemi, à des fins qui leur sont propres. Dans cette stratégie de guerre par l'image, un trou noir est créé : l'identité des victimes.
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Vivez, à travers 50 épisodes courts, le quotidien de la Première Guerre Mondiale. L'exploration se fait en relief grâce à une sélection de plaques stéréoscopiques réalisées à l'époque. L'expérience permet de vivre au jour le jour, aussi bien dans le combat que la vie quotidienne, "le théâtre des opérations" où se jouait la vie de ces hommes et femmes engagés dans le conflit.
Les archives soviétiques abritent l'unique mémoire filmique de l'Holocauste. Prises sur le vif, ces images sont douées de réalité. Mais quelle réalité ? Au lendemain de l'invasion allemande, les Soviétiques décident d'utiliser leur savoir-faire et d'imprimer sur pellicule, la redoutable machinerie d'extermination de l'ennemi, à des fins qui leur sont propres. Dans cette stratégie de guerre par l'image, un trou noir est créé : l'identité des victimes.
20 avril 1942, dans la cave d'un pavillon de Noisy-le-Grand, trois résistants, sous la direction de l'ingénieur Robert Keller ("La Source K" pour les Services Secrets Français), espionnent en direct la voix d'Adolf Hitler, le Führer lui-même, qu'ils ont placé sur table d'écoute ! Ils espionneront également les plus grands dignitaires du IIIe Reich.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands sont les pionniers d'une nouvelle forme de guerre blindée mobile. C'est l'histoire du célèbre "Blitzkrieg" : des milliers de panzers frappent à travers un terrain jugé impraticable, pour conquérir l'Europe occidentale en quelques semaines.
Après le succès de la Blitzkrieg, des hommes de toute l'Allemagne se sont rassemblés dans le corps blindé en quête de gloire. C'est l'histoire d'un pétrolier allemand face à la dure réalité de la guerre blindée. Ludwig Bauer, très décoré, a participé à plusieurs des plus grandes batailles de chars de la Seconde Guerre mondiale.
À la fin 1942, l'offensive allemande sur le front de l'Est commence à décrocher et les Soviétiques prennent position dans la ville de Stalingrad. C'est l'histoire de la bataille la plus infâme de l'histoire, alors que toute une armée allemande est perdue et que le cours de la guerre a changé à jamais.
Au 93 de la rue Lauriston se trouvait le quartier général la Gestapo française durant l’Occupation — dit la « Carlingue ». Les autorités allemandes se sont appuyées sur des truands français pour leur travail de basse police. Munis d’une carte allemande, ces voyous étaient intouchables. La bande de Bonny — un inspecteur révoqué pour corruption — et Lafont — un repris de justice — traquait les Juifs et les résistants et rendait des services au Tout-Paris en se livrant au racket.
En 1918, un bataillon américain entier est encerclé par les Allemands, et abandonné par les siens. En 1918, lors de la Première Guerre mondiale, dans le secteur de Meuse-Argonne en France, l'ancien avocat de New York et Major Charles White Whittlesey est assigné par le Général Robert Alexander à une attaque suicidaire massive contre les forces allemandes, dans la forêt d'Argonne avec son bataillon composé de cinq cents hommes.
20 avril 1942, dans la cave d'un pavillon de Noisy-le-Grand, trois résistants, sous la direction de l'ingénieur Robert Keller ("La Source K" pour les Services Secrets Français), espionnent en direct la voix d'Adolf Hitler, le Führer lui-même, qu'ils ont placé sur table d'écoute ! Ils espionneront également les plus grands dignitaires du IIIe Reich.
Lorsque Adolf Hitler amorce sa conquête en 1939, la plupart des Allemands sont opposés à la guerre, mais avec Joseph Goebbels, son ministre de la propagande, ils utilisent tous les outils de propagande possibles pour faire basculer l’opinion.
De Catherine la Grande (1729-1796) à la dernière impératrice, toutes les tsarines "russes" étaient en réalité allemandes. D'incroyables ascensions qui tiennent plus du calcul politique que du véritable amour, racontées en un film.
