Le taboulé au Quinoa
Si toi aussi tu veux dire au revoir aux taboulés sous vide de grandes surface pour faire ton propre taboulé, j'ai la recette qu'il te faut ! Avec cette #recette de #taboulé au #quinoa ultra healthy, tu vas régaler tes amis !
Si toi aussi tu veux dire au revoir aux taboulés sous vide de grandes surface pour faire ton propre taboulé, j'ai la recette qu'il te faut ! Avec cette #recette de #taboulé au #quinoa ultra healthy, tu vas régaler tes amis !
A chaque édition du Sirha Lyon, le Village by CA accueille une trentaine d'entreprises aux profils divers. Une opportunité pour ces dernières d'échanger aux business meeting, aux discussion entre entrepreneurs, exposants et visiteurs. Elles tracent ainsi dans le marché des tendances à l'image du végétal leur sillon dans le Food Service.
Conscientes de l'impact écologique de l'élevage intensif des animaux, mais également pour préserver leur santé, de plus en plus de personnes limitent leur consommation de viande. Une entreprise californienne a mis au point un procédé de fabrication d'une « viande » hachée qui imite à la perfection la texture, l'aspect et le goût de la vraie viande de boeuf. La start-up utilise un ingrédient, la « leghémoglobine », une sorte d'hémoglobine végétale tirée du soja.
Conscientes de l'impact écologique de l'élevage intensif des animaux, mais également pour préserver leur santé, de plus en plus de personnes limitent leur consommation de viande. Une entreprise californienne a mis au point un procédé de fabrication d'une « viande » hachée qui imite à la perfection la texture, l'aspect et le goût de la vraie viande de boeuf. La start-up utilise un ingrédient, la « leghémoglobine », une sorte d'hémoglobine végétale tirée du soja.
Vedette sur Instagram, l’avocat est un fruit photogénique. Il a également les faveurs des végétariens et des végans, d’autant qu’il est réputé pour être une source de «bon gras». Résultat: la demande en avocats a pris l’ascenseur! Ce qui n’est pas sans conséquences, entre autres au Chili, l’un des principaux exportateurs d’avocats vers la Suisse.
Vedette sur Instagram, l’avocat est un fruit photogénique. Il a également les faveurs des végétariens et des végans, d’autant qu’il est réputé pour être une source de «bon gras». Résultat: la demande en avocats a pris l’ascenseur! Ce qui n’est pas sans conséquences, entre autres au Chili, l’un des principaux exportateurs d’avocats vers la Suisse.
Vedette sur Instagram, l’avocat est un fruit photogénique. Il a également les faveurs des végétariens et des végans, d’autant qu’il est réputé pour être une source de «bon gras». Résultat: la demande en avocats a pris l’ascenseur! Ce qui n’est pas sans conséquences, entre autres au Chili, l’un des principaux exportateurs d’avocats vers la Suisse.
Vedette sur Instagram, l’avocat est un fruit photogénique. Il a également les faveurs des végétariens et des végans, d’autant qu’il est réputé pour être une source de «bon gras». Résultat: la demande en avocats a pris l’ascenseur! Ce qui n’est pas sans conséquences, entre autres au Chili, l’un des principaux exportateurs d’avocats vers la Suisse.
C'est l'histoire d'une quête personnelle et universelle : est-il toujours possible de manger des animaux en respectant leur bien-être, la planète et notre santé ? Alors qu'il devient père pour la première fois, le journaliste d'investigation Benoît Bringer (Prix Pulitzer avec l'équipe des Panama Papers) s'interroge sur ce qu'il donne à manger à son fils.
C'est l'histoire d'une quête personnelle et universelle : est-il toujours possible de manger des animaux en respectant leur bien-être, la planète et notre santé ? Alors qu'il devient père pour la première fois, le journaliste d'investigation Benoît Bringer (Prix Pulitzer avec l'équipe des Panama Papers) s'interroge sur ce qu'il donne à manger à son fils.
Pendant six mois,l'équipe de ce document a pu suivre L214 et Sea Sheperd, deux associations emblématiques de ce nouveau mouvement et qui, surtout ces derniers mois, ont alerté l'opinion sur certaines des dérives de l'industrie alimentaire. L214, installée à Lyon, dénonce les conditions d'élevage et de mise à mort des animaux à échelle industrielle. Ses militants ont révélé, images à l'appui, les coulisses terribles de certains abattoirs.
C'est l'histoire d'une quête personnelle et universelle : est-il toujours possible de manger des animaux en respectant leur bien-être, la planète et notre santé ? Alors qu'il devient père pour la première fois, le journaliste d'investigation Benoît Bringer (Prix Pulitzer avec l'équipe des Panama Papers) s'interroge sur ce qu'il donne à manger à son fils.
C'est l'histoire d'une quête personnelle et universelle : est-il toujours possible de manger des animaux en respectant leur bien-être, la planète et notre santé ? Alors qu'il devient père pour la première fois, le journaliste d'investigation Benoît Bringer (Prix Pulitzer avec l'équipe des Panama Papers) s'interroge sur ce qu'il donne à manger à son fils.
Pendant six mois,l'équipe de ce document a pu suivre L214 et Sea Sheperd, deux associations emblématiques de ce nouveau mouvement et qui, surtout ces derniers mois, ont alerté l'opinion sur certaines des dérives de l'industrie alimentaire. L214, installée à Lyon, dénonce les conditions d'élevage et de mise à mort des animaux à échelle industrielle. Ses militants ont révélé, images à l'appui, les coulisses terribles de certains abattoirs.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.
En 2050, il y aura au moins neuf milliards de bouches à nourrir. Avec l'augmentation de leur niveau de vie, des pays comme l'Inde et la Chine vont consommer de plus en plus de viande. Ce qui signifie qu'il faudra en produire au moins deux fois plus pour satisfaire la demande mondiale. Or la planète est déjà proche de la saturation. L'élevage monopolise déjà 30% des terres habitables et absorbe 70% des ressources en eau.