Lutter contre la discrimination, les préjugés, les violences auxquelles les personnes transgenres doivent faire face, nous concerne tous. La transphobie, comme l'homophobie, comme le racisme et le sexisme est un mal qui ronge notre société et empêche ses membres de vivre ensemble dans le respect de l'autre.
Depuis une trentaine d’années et avec l’essor d’Internet, le commerce du sexe s’est développé à l’échelle planétaire jusqu’à devenir aujourd’hui une véritable industrie. Prostitution de luxe ou de rue, agences d’escortes, salons de massages, bars de danseuses, industrie de la pornographie ou tourisme sexuel... À qui profite réellement ce commerce qui fait du corps des femmes une marchandise exploitable?
Absence de partenaire et désir de ne pas avoir de relations sexuelles : voilà les raisons les plus fréquemment évoquées lors d’une étude dressant le portrait des gens ayant été inactifs sexuellement pendant au moins 12 mois au cours de leur vie.
Une conférence prononcée par Mariela CASTRO ESPIN, sexologue et Directrice du Centre National d'Education Sexuelle de Cuba. Un moment du Colloque international « TRANS – REVOLUTIONS, Révolutions individuelles et collectives », organisée par l'association le TRIP (Travaux de Recherches sur l'Inconscient et la Pulsion) et coordonnée par le Dr Hervé HUBERT Psychiatre, psychanalyste.
Tout commence lors d'une réunion des sexopathes anonymes où Javier et Miranda se rencontrent. Javier, scénariste-producteur, a vu son mariage détruit par un jeu sexuel téléphonique. Miranda est animatrice radio. Attirés l'un par l'autre, ils succombent à leurs désirs dans une voiture abandonnée dans un parking souterrain, où un cadavre est ensuite découvert. Félix, le mari de Miranda, soupçonne un adultère et lance une enquête sur cet homicide.
