Que fait un tueur à gages dans la 'Ndrangheta, la puissante mafia calabraise, au Tessin ? Une image inquiétante des activités de Gennaro Pulice dans notre pays ressort de l'enquête menée par les autorités italiennes. La somme que l'assassin multiple a dû recycler depuis sa base de Lugano s'élevait à 45 millions d'euros. Immobilier, entreprises et surtout un réseau dense de partenaires, Falò partit sur sa piste et reconstitua chaque mouvement du tueur à gages en Suisse.
La consommation de cocaïne en Europe a explosé ces vingt dernières années. Comment les trafiquants assurent-ils leur business à l’international malgré le durcissement des douanes ? Pour abreuver le Vieux Continent, la cocaïne emprunte des routes toujours nouvelles et profite des faiblesses structurelles des pays. De la République dominicaine au Mali, de la Colombie à la France, les fleuves de poudre blanche charrient leur lot de corruption, de déstabilisation politique, de violence et de mort.
La consommation de cocaïne en Europe a explosé ces vingt dernières années. Comment les trafiquants assurent-ils leur business à l’international malgré le durcissement des douanes ? Pour abreuver le Vieux Continent, la cocaïne emprunte des routes toujours nouvelles et profite des faiblesses structurelles des pays. De la République dominicaine au Mali, de la Colombie à la France, les fleuves de poudre blanche charrient leur lot de corruption, de déstabilisation politique, de violence et de mort.
Les trafiquants français ont développé un modèle de réussite commerciale. Des premières routes défrichées par les « bandits à la papa » depuis l’Indochine jusqu’aux labos de la French Connection à Marseille et les réseaux d’Amérique du Sud, la mafia made in France a défini les principes de ce qui sera pendant les cinquante années suivantes l’activité la plus rentable dans le banditisme : le trafic international de stupéfiants.
Les trafiquants français ont développé un modèle de réussite commerciale. Des premières routes défrichées par les « bandits à la papa » depuis l’Indochine jusqu’aux labos de la French Connection à Marseille et les réseaux d’Amérique du Sud, la mafia made in France a défini les principes de ce qui sera pendant les cinquante années suivantes l’activité la plus rentable dans le banditisme : le trafic international de stupéfiants.
Les trafiquants français ont développé un modèle de réussite commerciale. Des premières routes défrichées par les « bandits à la papa » depuis l’Indochine jusqu’aux labos de la French Connection à Marseille et les réseaux d’Amérique du Sud, la mafia made in France a défini les principes de ce qui sera pendant les cinquante années suivantes l’activité la plus rentable dans le banditisme : le trafic international de stupéfiants.
C'étaient de braves Helvètes sans histoire, qui vivaient une existence tranquille, sans que leur entourage ne se doute de rien. Pourtant, dans le plus grand secret, ils avaient appris à semer leurs poursuivants, disposaient de radio secrètes et pour certains, étaient formés à l'art du sabotage. Aujourd'hui démobilisés, ces soldats de l'ombre racontent leur appartenance à l'armée secrète suisse, la P-26, chargée d'organiser la résistance en cas d'invasion soviétique pendant la Guerre froide.
C'étaient de braves Helvètes sans histoire, qui vivaient une existence tranquille, sans que leur entourage ne se doute de rien. Pourtant, dans le plus grand secret, ils avaient appris à semer leurs poursuivants, disposaient de radio secrètes et pour certains, étaient formés à l'art du sabotage. Aujourd'hui démobilisés, ces soldats de l'ombre racontent leur appartenance à l'armée secrète suisse, la P-26, chargée d'organiser la résistance en cas d'invasion soviétique pendant la Guerre froide.
C'étaient de braves Helvètes sans histoire, qui vivaient une existence tranquille, sans que leur entourage ne se doute de rien. Pourtant, dans le plus grand secret, ils avaient appris à semer leurs poursuivants, disposaient de radio secrètes et pour certains, étaient formés à l'art du sabotage. Aujourd'hui démobilisés, ces soldats de l'ombre racontent leur appartenance à l'armée secrète suisse, la P-26, chargée d'organiser la résistance en cas d'invasion soviétique pendant la Guerre froide.
