Près de 40% des migrants et réfugiés jetés sur les routes de l'exil sont des mineurs non accompagnés. Une population particulièrement vulnérable qui, depuis l'été dernier, butte sur la frontière sud de la Suisse, objet d'une surveillance zélée. Aujourd'hui, ces jeunes migrants tentent par tous les moyens de franchir la frontière verrouillée à double tour, malgré le droit international qui exige un asile politique sans restriction pour les mineurs non accompagnés.
Pourquoi tant de migrants sur le sol européen proviennent-ils d'Erythrée? Ce reportage, tourné sans escorte dans un pays considéré comme l'une des dictatures les plus brutales au monde, explore les raisons de l'exode des jeunes. Le pays fonctionne avec des jeunes soumis au service du régime d'Asmara où ils sont mobilisés pour une durée illimitée. Ils doivent travailler là où le gouvernement les assigne pour une durée indéterminée et un salaire dérisoire : un système proche des travaux forcés.
La délinquance serait-elle liée à l’immigration ? Beaucoup le pensent, certains le disent. Et si l’on prenait le temps de vérifier ? Trois années ont étaient nécessaires pour mener cette enquête à travers la France, enquête dont les conclusions s’avèrent bien différentes. Pourtant rien ne semble pouvoir raisonner un préjugé. Pourquoi ? Qu’est ce qu’un préjugé ? A quoi sert-il ? Un road-movie en deux parties, sillonnant la France avec John-Paul Lepers, pour revenir sur quelques idées préconçues.
La délinquance serait-elle liée à l’immigration ? Beaucoup le pensent, certains le disent. Et si l’on prenait le temps de vérifier ? Trois années ont étaient nécessaires pour mener cette enquête à travers la France, enquête dont les conclusions s’avèrent bien différentes. Pourtant rien ne semble pouvoir raisonner un préjugé. Pourquoi ? Qu’est ce qu’un préjugé ? A quoi sert-il ? Un road-movie en deux parties, sillonnant la France avec John-Paul Lepers, pour revenir sur quelques idées préconçues.
Fruit pour le botaniste, légume pour le douanier, baril pour le trader. En moins d'un siècle la tomate est devenue un aliment incontournable de l'alimentation humaine. Transformées en usine, conditionnées en baril de concentré, ces tomates circulent d'un continent à l'autre. Pour raconter la spectaculaire diffusion universelle de cette tomate que tout le monde consomme, il fallait une fresque planétaire.
Fruit pour le botaniste, légume pour le douanier, baril pour le trader. En moins d'un siècle la tomate est devenue un aliment incontournable de l'alimentation humaine. Transformées en usine, conditionnées en baril de concentré, ces tomates circulent d'un continent à l'autre. Pour raconter la spectaculaire diffusion universelle de cette tomate que tout le monde consomme, il fallait une fresque planétaire.
Fruit pour le botaniste, légume pour le douanier, baril pour le trader. En moins d'un siècle la tomate est devenue un aliment incontournable de l'alimentation humaine. Transformées en usine, conditionnées en baril de concentré, ces tomates circulent d'un continent à l'autre. Pour raconter la spectaculaire diffusion universelle de cette tomate que tout le monde consomme, il fallait une fresque planétaire.
Fruit pour le botaniste, légume pour le douanier, baril pour le trader. En moins d'un siècle la tomate est devenue un aliment incontournable de l'alimentation humaine. Transformées en usine, conditionnées en baril de concentré, ces tomates circulent d'un continent à l'autre. Pour raconter la spectaculaire diffusion universelle de cette tomate que tout le monde consomme, il fallait une fresque planétaire.
Fruit pour le botaniste, légume pour le douanier, baril pour le trader. En moins d'un siècle la tomate est devenue un aliment incontournable de l'alimentation humaine. Transformées en usine, conditionnées en baril de concentré, ces tomates circulent d'un continent à l'autre. Pour raconter la spectaculaire diffusion universelle de cette tomate que tout le monde consomme, il fallait une fresque planétaire.
Ponlou, Saroeun, Kim Chea et leurs voisins ont fui le Cambodge de 1979, détruit par les guerres et le génocide. Ils ont été rapatriés en 1992 parmi les 380 000 réfugiés des camps de la frontière thaïlandaise, et réinstallés à la va-vite dans un village près de Battambang. Les habitants n'ont pas vu d'un bon œil ce déferlement de "migrants" qui, selon eux, menaçait leurs terres et leur équilibre.
Ponlou, Saroeun, Kim Chea et leurs voisins ont fui le Cambodge de 1979, détruit par les guerres et le génocide. Ils ont été rapatriés en 1992 parmi les 380 000 réfugiés des camps de la frontière thaïlandaise, et réinstallés à la va-vite dans un village près de Battambang. Les habitants n'ont pas vu d'un bon œil ce déferlement de "migrants" qui, selon eux, menaçait leurs terres et leur équilibre.
