Chaque Suisse.sse ingère en moyenne 1,5 tonne de nourriture par année, boissons comprises. Mais ce que l’on mange est bien davantage que de la nourriture. Nos choix alimentaires définissent une identité, une image de soi, un souci de bonne santé et même une forme de réalisation personnelle. Dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu aimerais être!
Chaque Suisse.sse ingère en moyenne 1,5 tonne de nourriture par année, boissons comprises. Mais ce que l’on mange est bien davantage que de la nourriture. Nos choix alimentaires définissent une identité, une image de soi, un souci de bonne santé et même une forme de réalisation personnelle. Dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu aimerais être!
La street-food française n’existe pas. Au royaume du vin et du fromage, il est plus acceptable de s’attabler pour un plat du jour que de déjeuner en marchant. Les sandwichs de «Chez Aline» nous prouvent pourtant le contraire…
Si les géants américains du fast-food ont terni cette pratique, manger dans la rue reste au-delà de ces sentiers battus une histoire souvent liée à un héritage culinaire familial autour d’aliments frais. Pour reconquérir l’alimentation par la rue, un seul objectif : de bons produits moins chers.
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Ah, cette entrée de rêve ! Restaurant 3 étoiles ? Non, "C'est moi qui l'ai fait !". Ensemble nous réaliserons cette entrée de saison gourmande et délicate, pas de souci, on va très bien y arriver !
Et ces betteraves cuites qui dorment dans votre frigo, vous avez envie d'en faire autre chose que des crudités comme à la cantine ? Rendez-vous sur la page Facebook de L'atelier des Chefs pour choisir la recette que vous avez envie de faire !
Il y a toujours eu ceux qui ont dit « non » à la viande pour différentes raisons. Qu'il s'agisse de choix éthiques, pour des raisons de santé ou de consommation responsable. Ce film nous montre qui sont ces personnes et pourquoi elles ont renoncé à manger de la viande en Russie, et quel est le lien avec Léon Tolstoï, le développement du soja soviétique et la non-violence.
