Le 22 mars 2002, le corps sans vie de Jean-Raymond Blatti, comptable dans une entreprise des environs de Genève, est retrouvé dans son bureau. Des coups ont été portés au crâne. Sur son ventre, ont été rédigés à l'encre indélébile : « sale violeur ». La police criminelle a peu de pistes. Le défunt était, au dire de son entourage, un être idéal.
Mercredi 21 mars 2007, Christian Maréchal, chef de la police municipale de Chambourcy, est découvert gisant dans une mare de sang dans l'entrée de son pavillon. Il a reçu 18 coups de couteau. L'arme du crime a disparu. Il n'y a pas eu d'effraction et les lieux n'ont pas été fouillés. Rien n'a été volé. Les enquêteurs acquièrent la certitude que la victime a ouvert à son agresseur.
Le 7 septembre 2018, après avoir visité un appartement mis en location par un certain Jean-Marc Reiser, à Schiltigheim dans le Bas-Rhin, Sophie Le Tan, une étudiante, disparaît mystérieusement sans laisser de traces. Le propriétaire devient le principal suspect. Au fur et à mesure des investigations fortes en rebondissements, les enquêteurs vont remonter sur plus trente ans et mettre à jour la trajectoire d'un potentiel tueur en série.
Le 18 juin 2011, Marie-Jeanne Meyer, 17 ans, disparaît alors qu'elle est partie faire un jogging dans les environs de Tournon, en Ardèche. Son corps sera retrouvé démembré et carbonisé trois jours plus tard. Son meurtrier, Anthony Draoui, sera identifié à l'issue d'une enquête minutieuse.
