Healing From Hate
Le film suit les ex-néo-nazis et les skinheads dans leur travail aux USA pour dé-radicaliser les nationalistes blancs et guérir les communautés déchirées par le racisme
Le film suit les ex-néo-nazis et les skinheads dans leur travail aux USA pour dé-radicaliser les nationalistes blancs et guérir les communautés déchirées par le racisme
Le film suit les ex-néo-nazis et les skinheads dans leur travail aux USA pour dé-radicaliser les nationalistes blancs et guérir les communautés déchirées par le racisme
5000 néonazis le bras levé lors d'un concert en octobre dernier àSaint-Gall : un électrochoc. Le cas frappe par son ampleur mais il n'est pas unique, la mouvance extrémiste de droite est active en Suisse, parfois violente. Aujourd'hui, certains profitent du contexte de crise migratoire pour sortir de l'ombre et manifester leur admiration pour ces groupes néonazis en Allemagne qui s'affichent ouvertement et imposent la terreur aux migrants.
Comment un dictateur des plus brutaux, un paria, mis sous embargo par l'ONU en 1992 après les attentats du DC 10 d'UTA et de Lockerbie, est-il parvenu, une décennie plus tard à côtoyer chefs d'Etats et responsables européens et américains à Tripoli, Paris ou New York ? Témoignages de Tony Blair, Condoleezza Rice, etc…
Comment un dictateur des plus brutaux, un paria, mis sous embargo par l'ONU en 1992 après les attentats du DC 10 d'UTA et de Lockerbie, est-il parvenu, une décennie plus tard à côtoyer chefs d'Etats et responsables européens et américains à Tripoli, Paris ou New York ? Témoignages de Tony Blair, Condoleezza Rice, etc…
Comment un dictateur des plus brutaux, un paria, mis sous embargo par l'ONU en 1992 après les attentats du DC 10 d'UTA et de Lockerbie, est-il parvenu, une décennie plus tard à côtoyer chefs d'Etats et responsables européens et américains à Tripoli, Paris ou New York ? Témoignages de Tony Blair, Condoleezza Rice, etc…
Ce documentaire primé fait la chronique d'une histoire touchante sur la transformation et la rédemption. En 2009, l'ex skinhead raciste Bryon Widner entame une douloureuse et importante chirurgie au laser, comptant au total 25 interventions en seulement 18 mois, dans le but d'effacer ses tatouages aux propos racistes.