Comment peut-on évaluer les chances d'un retour à la conscience d'une personne dans le coma ? Comment quelqu'un peut-il voir avec la langue ? Et pourquoi les amputés ont-ils des sensations à un membre manquant ? Quels sont les effets de la méditation sur le cerveau ? Nous pouvons désormais commencer à répondre à ces questions grâce à des percées étonnantes dans les neurosciences.
Comment peut-on évaluer les chances d'un retour à la conscience d'une personne dans le coma ? Comment quelqu'un peut-il voir avec la langue ? Et pourquoi les amputés ont-ils des sensations à un membre manquant ? Quels sont les effets de la méditation sur le cerveau ? Nous pouvons désormais commencer à répondre à ces questions grâce à des percées étonnantes dans les neurosciences.
À partir du septième mois de la grossesse, les cinq sens du bébé in utero deviennent fonctionnels. Dans l’univers clos qui est le sien commence alors une formidable exploration sensorielle. Comment perçoit-il son monde et le nôtre ? Quelles sont ses capacités d’apprentissage et de mémorisation ? Que se passe-t-il quand il voit le jour dans notre monde d’air et de pesanteur, sans commune mesure avec celui de sa gestation où tous ses besoins étaient satisfaits "à la nanoseconde près" ?
Baisse du QI, multiplication du nombre d'enfants atteints d'hyperactivité ou souffrant de troubles de l'apprentissage : nos cerveaux seraient-ils menacés? D'éminents chercheurs tirent la sonnette d'alarme et accusent les perturbateurs endocriniens. Serions-nous entrés dans une sorte "d'évolution à l'envers" ? La question est posée par d'éminents chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés.
Baisse du QI, multiplication du nombre d'enfants atteints d'hyperactivité ou souffrant de troubles de l'apprentissage : nos cerveaux seraient-ils menacés? D'éminents chercheurs tirent la sonnette d'alarme et accusent les perturbateurs endocriniens. Serions-nous entrés dans une sorte "d'évolution à l'envers" ? La question est posée par d'éminents chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés.
