Paul François se bat en justice contre Monsanto depuis son intoxication en 2004 par l’un de leurs herbicides. Aujourd'hui, Paul mène un nouveau combat : convertir son exploitation agricole de 240 hectares en agriculture biologique.
Paul François se bat en justice contre Monsanto depuis son intoxication en 2004 par l’un de leurs herbicides. Aujourd'hui, Paul mène un nouveau combat : convertir son exploitation agricole de 240 hectares en agriculture biologique.
Paul François se bat en justice contre Monsanto depuis son intoxication en 2004 par l’un de leurs herbicides. Aujourd'hui, Paul mène un nouveau combat : convertir son exploitation agricole de 240 hectares en agriculture biologique.
La ferme de la Sostière, en Loire-Atlantique, a longtemps été un modèle de l’agriculture conventionnelle. Mais à la surprise générale, David et Xavier ont décidé de « passer au bio », un processus filmé pendant deux ans par le réalisateur Patrice Gérard.Après une dizaine d’années d’activité, les deux associés étaient las de la course à la productivité de l’élevage classique, qui les obligeait à emprunter (et travailler) toujours plus sans aucune garantie de retour sur investissement.
La ferme de la Sostière, en Loire-Atlantique, a longtemps été un modèle de l’agriculture conventionnelle. Mais à la surprise générale, David et Xavier ont décidé de « passer au bio », un processus filmé pendant deux ans par le réalisateur Patrice Gérard.Après une dizaine d’années d’activité, les deux associés étaient las de la course à la productivité de l’élevage classique, qui les obligeait à emprunter (et travailler) toujours plus sans aucune garantie de retour sur investissement.
La ferme de la Sostière, en Loire-Atlantique, a longtemps été un modèle de l’agriculture conventionnelle. Mais à la surprise générale, David et Xavier ont décidé de « passer au bio », un processus filmé pendant deux ans par le réalisateur Patrice Gérard.Après une dizaine d’années d’activité, les deux associés étaient las de la course à la productivité de l’élevage classique, qui les obligeait à emprunter (et travailler) toujours plus sans aucune garantie de retour sur investissement.
« Vino Veritas » est un voyage dans l’univers du vin, un road movie à travers les vignes d’Europe. Parfois drôle, souvent sensible, le documentaire donne la parole aux nouveaux vignerons qui considèrent la nature comme élément incontournable dans l’élaboration d’un vin de qualité, d’un vin vivant.
« Vino Veritas » est un voyage dans l’univers du vin, un road movie à travers les vignes d’Europe. Parfois drôle, souvent sensible, le documentaire donne la parole aux nouveaux vignerons qui considèrent la nature comme élément incontournable dans l’élaboration d’un vin de qualité, d’un vin vivant.
« Vino Veritas » est un voyage dans l’univers du vin, un road movie à travers les vignes d’Europe. Parfois drôle, souvent sensible, le documentaire donne la parole aux nouveaux vignerons qui considèrent la nature comme élément incontournable dans l’élaboration d’un vin de qualité, d’un vin vivant.
Réalisé par La Monade Sagace avec Mathilde Perrichon, productrice de plantes aromatiques et médicinales dans l’Oise (60, Hauts-de-France) S'abonner à la chaîne "Les Plantes de Mathilde" https://www.youtube.com/channel/UCkqKJi3o3d56guQka5rIn2Q
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Faut- il avoir peur de ce que l'on mange ? Les messages de santé publique nous le rabâchent, pour être en forme il faut manger sain. Sauf qu'aujourd'hui manger sain c'est manger sans : sans graisse, sans sucre, sans sel, sans viande, sans gluten, sans manger même parfois. Des modes alimentaires souvent inutiles, coûteuses, parfois dangereuses. Au mieux on s'en sort avec quelques carences, au pire les plus fragiles peuvent en mourir. Faut-il se méfier des modes d'avantage que des produits ?
Le coton, c'est doux, chaleureux, naturel. Nous en portons tous les jours. Cette matière est devenue l'un des produits les plus utilisés de la planète. Dans le monde, le business du coton pèse 37 milliards d'euros de chiffre d'affaires chaque année. En Asie centrale, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie sur les routes du coton pour enquêter sur la face sombre de cet or blanc.
Le coton, c'est doux, chaleureux, naturel. Nous en portons tous les jours. Cette matière est devenue l'un des produits les plus utilisés de la planète. Dans le monde, le business du coton pèse 37 milliards d'euros de chiffre d'affaires chaque année. En Asie centrale, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie sur les routes du coton pour enquêter sur la face sombre de cet or blanc.
Le coton, c'est doux, chaleureux, naturel. Nous en portons tous les jours. Cette matière est devenue l'un des produits les plus utilisés de la planète. Dans le monde, le business du coton pèse 37 milliards d'euros de chiffre d'affaires chaque année. En Asie centrale, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie sur les routes du coton pour enquêter sur la face sombre de cet or blanc.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la cuisine devra aussi répondre à des enjeux environnementaux : être durable, préserver les ressources de la planète et faire face à la surconsommation de viande. Ainsi, nos "rêveurs" trouvent de nouvelles manières de donner du goût à leur cuisine en se tournant vers de nouveaux ingrédients comme les algues ou les insectes.
En 2050, la demande en produits agricoles devrait augmenter d’au moins 70%. Pour répondre à ces besoins, il nous faudra donc produire plus mais aussi plus proprement et en consommant moins d’énergie. Les nouvelles technologies aideront les agriculteurs à relever ces défis. Les robots connectés les épauleront dans leurs tâches quotidiennes et ce, de manière autonome.
En 2050, la demande en produits agricoles devrait augmenter d’au moins 70%. Pour répondre à ces besoins, il nous faudra donc produire plus mais aussi plus proprement et en consommant moins d’énergie. Les nouvelles technologies aideront les agriculteurs à relever ces défis. Les robots connectés les épauleront dans leurs tâches quotidiennes et ce, de manière autonome.
En 2050, la demande en produits agricoles devrait augmenter d’au moins 70%. Pour répondre à ces besoins, il nous faudra donc produire plus mais aussi plus proprement et en consommant moins d’énergie. Les nouvelles technologies aideront les agriculteurs à relever ces défis. Les robots connectés les épauleront dans leurs tâches quotidiennes et ce, de manière autonome.
En 2050, la demande en produits agricoles devrait augmenter d’au moins 70%. Pour répondre à ces besoins, il nous faudra donc produire plus mais aussi plus proprement et en consommant moins d’énergie. Les nouvelles technologies aideront les agriculteurs à relever ces défis. Les robots connectés les épauleront dans leurs tâches quotidiennes et ce, de manière autonome.
En 2050, la demande en produits agricoles devrait augmenter d’au moins 70%. Pour répondre à ces besoins, il nous faudra donc produire plus mais aussi plus proprement et en consommant moins d’énergie. Les nouvelles technologies aideront les agriculteurs à relever ces défis. Les robots connectés les épauleront dans leurs tâches quotidiennes et ce, de manière autonome.
Du déchet à l'assiette, le pari d'une "boucle verte" qui apporte autonomie alimentaire et énergétique à un territoire. Ce film suit le parcours et la réalisation d'un projet de méthanisation de quatre jeunes agriculteurs du plateau de Millevaches au fil des saisons. Ensemble, ils défrichent une voie nouvelle, ambitieuse et pleine de bon sens, pour faire de l'agriculture proprement, autrement.
Faire des biscuits avec du pain de la veille et former à un métier des personnes en situation de handicap, c’est l’un des paris que se sont lancées trois ingénieures agro-alimentaires, Katia Tardy, Alix Guyot et Louise Doulliet.
