Carole, une Québécoise de 47 ans, est adepte du « wing walking » depuis 15 ans. Cette pratique très dangereuse, consistant à marcher sur les ailes d'un avion, lui permet de réaliser des numéros en plein vol. Lieutenant-colonel, Solène pilote un transporteur pour ravitailler l'armée française sur des opérations extérieures. Pendant ce temps, à seulement 18 ans, Maëlle pilote des avions bien plus légers depuis un an.
Carole, une Québécoise de 47 ans, est adepte du « wing walking » depuis 15 ans. Cette pratique très dangereuse, consistant à marcher sur les ailes d'un avion, lui permet de réaliser des numéros en plein vol. Lieutenant-colonel, Solène pilote un transporteur pour ravitailler l'armée française sur des opérations extérieures. Pendant ce temps, à seulement 18 ans, Maëlle pilote des avions bien plus légers depuis un an.
Longtemps réservé aux hommes, le pilotage se féminise. De Maelle qui à 18 ans termine ses qualifications de vol à Solène, seule femme pilote de Transall de l'armée de l'air, en passant par Carole, qui marche sur les ailes de son avion de voltige, portraits croisés de femmes des airs.
Carole, une Québécoise de 47 ans, est adepte du « wing walking » depuis 15 ans. Cette pratique très dangereuse, consistant à marcher sur les ailes d'un avion, lui permet de réaliser des numéros en plein vol. Lieutenant-colonel, Solène pilote un transporteur pour ravitailler l'armée française sur des opérations extérieures. Pendant ce temps, à seulement 18 ans, Maëlle pilote des avions bien plus légers depuis un an.
Deux femmes, un même prénom… Jacqueline ; une même passion… l’aviation, …une même détermination : être la femme la plus rapide du monde ! « Jacky contre Jacky » ou l’histoire d’une course effrénée aux records de vitesse, entre Jacqueline Cochran, l’américaine et Jacqueline Auriol, la française, dans l’immédiat après-guerre. Un enjeu majeur : le prestige respectif des ailes de leur pays.
