C'est la saison des petits bulletins de versement dans les boîtes à lettres, appelant à donner généreusement pour de bonnes causes humanitaires. Et les Suisses sont généreux : 350 francs par habitant pour contribuer à lutter contre les crises, la faim, la pauvreté. Mais désormais, l'humanitaire est un énorme business, qui brasse des milliards et fait face à des crises immenses. Où va l'argent ? Combien les victimes reçoivent-elles vraiment ?
Dans cette vidéo, découvrez toutes les facettes de l'humanitaire en rencontrant différents profils du secteur (logistique, santé, finances...). Immersion aux côtés de Médecins sans frontières.
Durant six mois, la réalisatrice Stéphanie Davoigneau a filmé la lente et douloureuse reconstruction d'Alexandra Lange. Pendant douze ans, cette femme a été battue par son mari, qui violentait également ses quatre enfants. Une nuit de juin 2009, elle a tué son bourreau. Trois ans plus tard, la cour d'assises du Nord l'a jugée non pas coupable, mais victime. Et l'a acquittée.
Dans ce volet, Bernard Fontanille se rend à Okinawa, une île japonaise qui cultive l'art de vieillir, grâce au lien social, aux activités physiques et à l'épanouissement personnel. Il s'entretient avec madame Toyama, 91 ans et très en forme, pour comprendre les secrets de sa longévité. Pour elle, il importe, notamment, de détenir l'Ikigai, "ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue".
C'est un temple de la diplomatie mondiale et la plus grande organisation humanitaire du monde. Mais pendant des décennies, un scandale après l'autre a terni la réputation de l'ONU. Depuis le scandale «pétrole contre nourriture», la résponsabilité dans l'affaire d'épidémie de choléra en Haïti et des multiples accusations de gaspillage de fonds, de corruption et de non-responsabilité à tous les niveaux, la crédibilité et l'intégrité de l'ONU ont été constamment sapées.
C'est un temple de la diplomatie mondiale et la plus grande organisation humanitaire du monde. Mais pendant des décennies, un scandale après l'autre a terni la réputation de l'ONU. Depuis le scandale «pétrole contre nourriture», la résponsabilité dans l'affaire d'épidémie de choléra en Haïti et des multiples accusations de gaspillage de fonds, de corruption et de non-responsabilité à tous les niveaux, la crédibilité et l'intégrité de l'ONU ont été constamment sapées.
C'est un temple de la diplomatie mondiale et la plus grande organisation humanitaire du monde. Mais pendant des décennies, un scandale après l'autre a terni la réputation de l'ONU. Depuis le scandale «pétrole contre nourriture», la résponsabilité dans l'affaire d'épidémie de choléra en Haïti et des multiples accusations de gaspillage de fonds, de corruption et de non-responsabilité à tous les niveaux, la crédibilité et l'intégrité de l'ONU ont été constamment sapées.
Des milliers de personnes tentent de trouver refuge en Europe en traversant la Méditerranée. La réponse des Etats est soit inexistante, soit sécuritaire. Des murs se construisent, les traversées sont rendues illégales et forcent les gens à mettre leur vie en danger une nouvelle fois. Pour pallier à cet état de non assistance à personne en danger, des civils s'engagent de différentes manières pour essayer d'amener un peu d'humanité dans cette crise sans précédent.
Au Rajasthan, aussi connu sous le nom de «Terre des rois», les Maharajas n'ont rien perdu de leur prestige. Les traditions séculaires sont toujours valables et l'héritage royal est de la plus haute importance. Les gens ordinaires embrassent les pieds de leurs princes et offrent de petites sommes d'argent à ces millions de fois plus riches qu'eux-mêmes, en signe de respect et de soumission.
Au Rajasthan, aussi connu sous le nom de «Terre des rois», les Maharajas n'ont rien perdu de leur prestige. Les traditions séculaires sont toujours valables et l'héritage royal est de la plus haute importance. Les gens ordinaires embrassent les pieds de leurs princes et offrent de petites sommes d'argent à ces millions de fois plus riches qu'eux-mêmes, en signe de respect et de soumission.
Chassés par les guerres et les catastrophes, délaissés par des Etats qui ne veulent pas les accueillir, 20 millions d'exilés trouvent refuge dans des camps. Camps de réfugiés, centres de rétention, campements d'attente, pensés comme une solution humanitaire d'urgence, ces lieux de mise à l'écart se pérennisent. Considérés comme des bénéficiaires de l'assistance, les réfugiés sont soumis à une nouvelle loi : celle du marché. Les entreprises privées s'implantent désormais dans les camps.
Chassés par les guerres et les catastrophes, délaissés par des Etats qui ne veulent pas les accueillir, 20 millions d'exilés trouvent refuge dans des camps. Camps de réfugiés, centres de rétention, campements d'attente, pensés comme une solution humanitaire d'urgence, ces lieux de mise à l'écart se pérennisent. Considérés comme des bénéficiaires de l'assistance, les réfugiés sont soumis à une nouvelle loi : celle du marché. Les entreprises privées s'implantent désormais dans les camps.
Chassés par les guerres et les catastrophes, délaissés par des Etats qui ne veulent pas les accueillir, 20 millions d'exilés trouvent refuge dans des camps. Camps de réfugiés, centres de rétention, campements d'attente, pensés comme une solution humanitaire d'urgence, ces lieux de mise à l'écart se pérennisent. Considérés comme des bénéficiaires de l'assistance, les réfugiés sont soumis à une nouvelle loi : celle du marché. Les entreprises privées s'implantent désormais dans les camps.
