Durant six mois, la réalisatrice Stéphanie Davoigneau a filmé la lente et douloureuse reconstruction d'Alexandra Lange. Pendant douze ans, cette femme a été battue par son mari, qui violentait également ses quatre enfants. Une nuit de juin 2009, elle a tué son bourreau. Trois ans plus tard, la cour d'assises du Nord l'a jugée non pas coupable, mais victime. Et l'a acquittée.
Durant six mois, la réalisatrice Stéphanie Davoigneau a filmé la lente et douloureuse reconstruction d'Alexandra Lange. Cette mère de famille, qui a été battue par son mari pendant douze ans et a vu les coups pleuvoir sur ses quatre enfants, a tué son bourreau pour se défendre une nuit de juin 2009. Trois ans après les faits, celle qui a donné la mort pour se protéger est acquittée. Elle a été jugée victime et non coupable par la cour d'Assises du Nord.
Dans ce volet, Bernard Fontanille se rend à Okinawa, une île japonaise qui cultive l'art de vieillir, grâce au lien social, aux activités physiques et à l'épanouissement personnel. Il s'entretient avec madame Toyama, 91 ans et très en forme, pour comprendre les secrets de sa longévité. Pour elle, il importe, notamment, de détenir l'Ikigai, "ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue".
C'est la saison des petits bulletins de versement dans les boîtes à lettres, appelant à donner généreusement pour de bonnes causes humanitaires. Et les Suisses sont généreux : 350 francs par habitant pour contribuer à lutter contre les crises, la faim, la pauvreté. Mais désormais, l'humanitaire est un énorme business, qui brasse des milliards et fait face à des crises immenses. Où va l'argent ? Combien les victimes reçoivent-elles vraiment ?
Au Rajasthan, aussi connu sous le nom de «Terre des rois», les Maharajas n'ont rien perdu de leur prestige. Les traditions séculaires sont toujours valables et l'héritage royal est de la plus haute importance. Les gens ordinaires embrassent les pieds de leurs princes et offrent de petites sommes d'argent à ces millions de fois plus riches qu'eux-mêmes, en signe de respect et de soumission.
Au Rajasthan, aussi connu sous le nom de «Terre des rois», les Maharajas n'ont rien perdu de leur prestige. Les traditions séculaires sont toujours valables et l'héritage royal est de la plus haute importance. Les gens ordinaires embrassent les pieds de leurs princes et offrent de petites sommes d'argent à ces millions de fois plus riches qu'eux-mêmes, en signe de respect et de soumission.
